Labourse

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Labourse
Labourse
La mairie.
Blason de Labourse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Philippe Scaillierez
2020-2026
Code postal 62113
Code commune 62480
Démographie
Gentilé Laboursois
Population
municipale
2 894 hab. (2021 en augmentation de 7,58 % par rapport à 2015)
Densité 616 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 29′ 56″ nord, 2° 40′ 51″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 44 m
Superficie 4,7 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Nœux-les-Mines
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Nœux-les-Mines
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Labourse
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Labourse
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Labourse
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Labourse
Liens
Site web ville-labourse.fr

Labourse est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Elle se situe dans l'arrondissement de Béthune et le canton de Nœux-les-Mines à la suite du redécoupage cantonal de 2014.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).
Communes limitrophes de Labourse
Beuvry
Verquigneul Labourse Sailly-Labourse
Nœux-les-Mines Mazingarbe

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par deux cours d'eau :

  • la Loisne amont, cours d'eau naturel de 10,52 km, qui prend sa source dans la commune de Hersin-Coupigny et se jette dans le canal de Beuvry au niveau de la commune de Beuvry[1] ;
  • le ruisseau de la Fontaine de Bray, un cours d'eau naturel de 12 km, qui prend sa source dans la commune d'Hersin-Coupigny et se jette dans le Canal d'Aire à La Bassée au niveau de la commune de Festubert[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 16 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :

  • le marais de la Loisne. Localisé sur les anciens marais de la Loisne au sud-est de la ville de Béthune et incluant les terrils édifiés sur les mêmes marais, le site a été largement réaménagé en espace de loisirs avec de nombreux étangs de pêche[9] ;
  • le terril no 45 des ancienne usines de Noeux-les-Mines à Labourse, d'une superficie de 25 hectares et d'une altitude variant de 23 à 77 mètres. C'est un terril tabulaire édifié en 1927, qui, de par sa visibilité, présente un intérêt paysager[10].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Labourse, depuis Sailly-Labourse.

Typologie[modifier | modifier le code]

Labourse est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[14] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,5 %), zones urbanisées (28,6 %), mines, décharges et chantiers (11,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,7 %), eaux continentales[Note 4] (5,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bursa en 1089 , le Borse en 1206[20], La Bourse en 1793, puis Labourse en 1801[21].

Du néerlandais burs « la broussaille »[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté de communes de Nœux et environs, créée fin 1992. Celle-ci disparait le en s'intégrant au sein de la communauté d'agglomération de l'Artois.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], celle-ci fusionne avec la Communauté de communes Artois-Lys et la Communauté de communes Artois-Flandres, formant, le , la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane, dont est désormais membre la commune.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de 1801 à 1973 du canton de Cambrin, année où elle intègre le canton de Nœux-les-Mines[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 4 à 13 communes.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 2012 de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1945 mars 1977 Édouard Joly   Maire honoraire
mars 1977 mars 2008 Claude Buisine[24] PS Agent de maîtrise
Vice-président de la CC de Nœux et environs
mars 2008 juin 2016[25] François Dobrowolski[26],[27] DVG Ingénieur retraité
Décédé en fonction
juillet 2016 En cours
(au 24 mars 2022)
Philippe Scaillierez DVG Professeur du second degré[28]
Vice-président du SIVOM du Béthunois[29],[30]
Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

Instances de démocratie participative[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée d'un conseil municipal des jeunes[33].

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

La commune est également membre du SIVOM du Béthunois, qui assure de nombreux services tels que l'adduction d'eau, la restauration scolaire et les centres de loisir, la voirie[34].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 2 894 habitants[Note 5], en augmentation de 7,58 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
190201237270327323321336354
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
338370431488536558764839965
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1341 3491 5331 7912 2432 2142 1262 3762 245
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 2722 2011 9261 7112 0572 0282 1662 1882 429
2017 2021 - - - - - - -
2 8472 894-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,5 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 382 hommes pour 1 496 femmes, soit un taux de 51,98 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
2,0 
2,7 
75-89 ans
6,2 
10,8 
60-74 ans
12,1 
21,1 
45-59 ans
17,4 
22,5 
30-44 ans
23,8 
17,3 
15-29 ans
15,3 
25,3 
0-14 ans
23,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu médian par ménage était de 28 818€, ce qui plaçait Labourse au 18 015 rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[40].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

La zone industrielle n°1 est implantée sur la commune et dispose d'un accès à l'autoroute A26 (sortie 6.1).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin.

Église paroissiale Saint-Martin, inscrite aux monuments historiques par arrêté du [41]. Datée du Xe siècle, il semblerait que ce soit la plus ancienne église du Pas-de-Calais.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

coupé : au premier d’azur semé de fleurs de lys d’or au cerf d’argent brochant sur le tout, au deuxième parti au I d’argent à la fasce de gueules et au II écartelé d’or et de sable.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Loisne Amont (E3510710 ) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Fontaine de Bray (E3510650) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Labourse et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « ZNIEFF 310013319 - Marais de la Loisne », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF 310013742 - Terril n°45 des ancienne usines de Noeux à Labourse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noeux-les-Mines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1028.
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Les maires de Labourse », sur francegenweb.org (consulté le ).
  24. « Labourse: l’ancien maire Claude Buisine est décédé : Claude Buisine, ancien maire de la commune, est décédé dans la nuit de mardi 17 au mercredi 18 mars. Il était âgé de 90 ans », L'Avenir de l'Artois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Ruben Muller, « Labourse : le maire François Dobrowolski est décédé : La maladie contre laquelle il luttait depuis plusieurs mois a emporté François Dobrowolski, 81 ans, dans la nuit de mardi à mercredi. Le maire de Labourse laisse le souvenir d’un élu « humaniste et visionnaire ». », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Christian Larivière, « Bilan des maires : « Avant notre équipe, jamais personne n’avait autant investi à Labourse » : Une des réalisations dont il est le plus fier ne lui a pas coûté un sou : rendre hommage à son prédécesseur Claude Buisine, qu’il venait de battre, en donnant son nom au stade communal. Mais s’il met en avant ce geste qui le résume, ce n’est pas pour éviter de parler de chiffres. « Avant notre équipe, jamais personne n’avait autant investi à Labourse », affirme François Dobrowolski », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Labourse : François Dobrowolski, réélu, a confirmé l’élan porté il y a 6 ans : Samedi soir, la salle des fêtes n’était pas assez grande pour accueillir les habitants venus assister au 1er conseil municipal de la nouvelle mandature. Sans surprise, François Dobrowolski, arrivé en tête la semaine dernière avec 64,6 % des suffrages, a été élu maire avec la majorité absolue. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Labourse : Philippe Scaillierez élu maire, la majorité explose : Le premier conseil municipal depuis le décès du maire François Dobrowolski s’est tenu ce vendredi soir au dojo. L’ex-premier adjoint Philippe Scaillierez a été élu maire, Patrice Andréotti est évincé, Isabelle Vanelle, jusqu’alors dans l’opposition, devient adjointe. Le paysage politique laboursois est entièrement recomposé. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Le président et les vice-présidents », sur sivom-bethunois.fr (consulté le ).
  30. Nicolas de Ruyffelaere, « Enterré ? Non ! Le projet de liaison Béthune-La Bassée est de retour... et ne fait pas que des heureux : Les élus de Labourse ne veulent pas du tracé dans leur commune, ils l’ont fait savoir en conseil municipal jeudi 1er février », L'Avenir de l'Artois,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  33. « Labourse : à peine élus, les jeunes du CMJ étaient de sortie pour le 11 novembre : Vendredi, une vingtaine d’élèves, du CM1 à la 5e, se sont présentés au suffrage de leurs collègues. Comme les grands, ils avaient préalablement mené campagne. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Labourse », Les communes, sur sivom-bethunois.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Labourse (62480) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2011 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  41. « Inscription de l'église Saint-Martin », notice no PA00108326, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.